lunes, 21 de septiembre de 2020

Encore un tour !

Encore un tour de fini ! Le premier en septembre. D'habitude, le tour façonne notre mois de juillet, après un Roland-Garros (toujours au moment du bac !!!), puis un tournoi international de football (tous les deux ans). Le tour nous permet de passer le début de l'après-midi au frais, les volets fermés, en essayant de faire le moins de mouvements possibles pour combattre la chaleur. Comme un bon vieux Derrick, c'est un appel au farniente, à la siège, au prélassage. On se laisse aller, et on admire ce beau pays du haut de l'hélicoptère de la chaîne de télévision étatique. La voix de Jean-Paul Ollivier (aujourd'hui celle de Franck Ferrand) nous guide entre le songe et la réalité. Hier en regardant la dernière étape entre Mantes-la-Jolie et Paris, je m'apercevais de la beauté de certains monuments de cette banlieue parisienne, plus fameuse pour ces déboires de "quartiers" que pour ces momunents tels la Maison-Lafitte.  Au final, l'intérêt du Tour réside peut-être plus dans sa visite du patrimoine de la France que dans la course à proprement parlé. Depuis que les coureurs ingurgitent des choses à l'insu de leur plein gré, chaque vainqueur est suspect et on attend son déclassement quelques mois plus tard comme un soulagement. Qui se souvient du classement général  des vingt dernières années ? Le vrai classement ? Puis  17 heures arrive, la fin de l'étape approche, on ne la regarde pas forcément, on sort doucement de son état léthargique et on se prépare à rentrer dans l'eau fraîche de la piscine. Ah, ces doux jours de juillet. Rien que pour cela, on ne peut pas dire que le mois d'août ait la même saveur...

 

Et puisque le tour se termine à Paris, je vous invite à venir découvrir le livre de Philippe Delerm Paris l'instant (843 DEL)

 



miércoles, 9 de septiembre de 2020

Del post-confinamiento !

Marzo-septiembre... ya el tiempo pasa rapido, y poco a poco intentamos volver a la normalidad. "Normalidad" a lo "asiatico", es decir con barbijo. Después de tantas horas en casa, intentando llenar el tiempo con libros, pelis, streaming, sin deportes, me encuentro de nuevo en mi oficina. Ordenando, escribiendo, me pregunto cuando volveré a ver a los "amantes de los libros" pasar por aquí. Ojalá cuanto antes. Aunque nos hemos "numerisado" rapidamente para adaptarnos a la cuarentena en marzo, nada vale el buen contacto humano sin tener que interactuar con este maldito objeto "smart" (segun dicen). 

Para festejar el post-confinamiento, nada mejor que leer un buen libro de ciencia-ficcion. Les propongo "Dune" de Franck Herbert. De que se trata:

Arrakis: un planeta desértico donde el agua es el bien más preciado donde llorar a los muertos es el símbolo de máxima prodigalidad. Paul Atreides: un adolescente marcado por un destino singular, dotado de extraños poderes, abocado a convertirse en dictador, mesías y mártir. Los Harkonnen: personificación de las intrigas que rodean el Imperio Galáctico, buscan obtener el control sobre Arrakis para disponer de la melange, preciosa especia y uno de los bienes más codiciados del universo. Los Fremen: seres libre que han convertido el inhóspito paraje de Dune en su hogar, y que se sienten orgullosos de su pasado y temerosos de su futuro. Dune: una obra maestra unánimemente reconocida como la mejor saga de ciencia ficción de todos los tiempos.

Pueden encontrar el libro en le mediateca en el sector ciencia-ficcion SF843 HER